6.11.06

 

En vrac.



Zhaïa (le retour) me dit que les "Père Noël" ça existe et qu’elle vient d’en rencontrer un (donc y’en a au moins 2 !). Moi, ce n’est pas ce que j’avais envie d’entendre. Surtout pas.

Vendredi soir le nez me pousse, je le sens, c’est comme ça : un mail de ma phrase de Kafka.
Jolie proposition intellectuelle. (C’est fou comme quand les gens entendent Judith Butler ils pensent à moi).

Week-end de vrac et de vertiges.

Aujourd’hui tout tangue.

Je pense à mes grands parents qui ne seront plus jamais près de moi.
A cette vieille enfance là.

Rien à écrire, une nouvelle fois faire acte de présence dans cette vie là.

J’aimerai qu’on me dise pourquoi les murs tournent à ce point autour de moi…

Comments:
Rien à écrire ? Bon, ce rien est déjà quelque chose. Pourquoi les murs tournent autour de toi ? Et si c'était toi qui tournais autour des murs ? Hem ... enfin, je veux dire plutôt : c'est à toi de nous le dire, non ?
 
J'ai connu un jour, pas un père noel, mais un ange (aux ailes froissées). Un ange qui d'ailleurs aimait C. Bobin, Duras, Sartre...
Et si ton père noël, qui n'existe pas, était en fait (juste) un ange, le tien ?
 
Andromède : tu as raison pour les murs...

Hannah, l'autre : c'est joli l'ange aux ailes froissées...
La suite dira ce qu'il est.
 
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