22.2.07

 

Birth.




Les mots dans mon coeur et ma tête se nouent et s’encochent.
Impression d’après massage où se mêle sentiment de profonde tristesse et fébrilité émotionnelle.
Et puis toi, plus que jamais dans ma vie - présente - sans cette fois parvenir à écrire quelque chose sur toi, sur moi, sur nous…

Les soupçons de nos entourages de plus en plus forts, toi qui maintient l’ambiguïté, moi qui me tiens dans une situation intenable.

Nous qui cherchons à éclaircir les choses à demi mots par crainte de perte et de blessures.

Je cherche une phrase qui pourrait dire tout ça, mais je ne suis pas assez romantique pour celle d’une bluette de Bruel qui passerait par là, « je m’attendais pas à toi » et puis, non, ça me fait trop rire…

Une phrase… Quelques lignes…

« Je vous reconnaissais. Vous étiez celle qui dort tout au fond du printemps, sous les feuillages jamais éteints du rêve. (…) Vous étiez la vie même, du froissé de vos robes au tremblé de vos rires
Vous m’enleviez la sagesse qui est pire que la mort.
Vous me donniez la fièvre qui est la vraie santé. ».

" Une femme si menue, qui prenait tant de place : je n’en revenais pas."

"Il n’y a pas de connaissance en dehors de l’amour, il n’y a dans l’amour que de l’inconnaissable. "


C. BOBIN. « Une petite robe de fête » Ed Folio.

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:))
 
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